Réunis hier, les représentants des syndicats, des groupements (Federgy, UDGPO, CNGPO), de l'Ordre, de l'Association de pharmacie rurale (APR) et des étudiants en pharmacie (ANEPF), ont discuté d'un possible passage à l'action. À l'origine de la colère, les baisses de prix sur les génériques proposées par le Comité économique des produits de santé (CEPS), l'absence de lettre d'orientation en vue de la future négociation conventionnelle promise par la ministre de la Santé, ou encore le retour de la voie dérogatoire dans le projet d'ordonnance sur le réseau.

Dans ce contexte, l'Union des syndicats de pharmaciens d'officine (USPO) et les groupements projettent d'entamer une grève des gardes dès le début de l'année prochaine. Mais surtout, ils envisagent d'organiser une journée de manifestation et de grève dans tous les départements à la fin du mois de janvier. Les prochaines semaines seront consacrées à la finalisation de ce mouvement de protestation, indique Gilles Bonnefond, président de l'Union des syndicats de pharmaciens d'officine (USPO).

Pour sa part, la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) souhaite attendre la lettre d'orientations de la ministre de la Santé qu'elle s'est engagée à adresser au directeur général de l'assurance maladie dans la perspective des négociations de la nouvelle convention. "Avant d'engager la profession dans un bras de fer aux conséquences incertaines, la FSPF veut connaître les termes de cette lettre de cadrage, explique son président, Philippe Gaertner. Le conseil d'administration de la FSPF décidera, alors, des négociations ou des actions à mener."

Lequotidiendupharmacien.fr

Réunis hier, les représentants des syndicats, des groupements (Federgy, UDGPO, CNGPO), de l'Ordre, de l'Association de pharmacie rurale (APR) et des étudiants en pharmacie (ANEPF), ont discuté d'un possible passage à l'action. À l'origine de la colère, les baisses de prix sur les génériques proposées par le Comité économique des produits de santé (CEPS), l'absence de lettre d'orientation en vue de la future négociation conventionnelle promise par la ministre de la Santé, ou encore le retour de la voie dérogatoire dans le projet d'ordonnance sur le réseau.Dans ce contexte, l'Union des syndicats de pharmaciens d'officine (USPO) et les groupements projettent d'entamer une grève des gardes dès le début de l'année prochaine. Mais surtout, ils envisagent d'organiser une journée de manifestation et de grève dans tous les départements à la fin du mois de janvier. Les prochaines semaines seront consacrées à la finalisation de ce mouvement de protestation, indique Gilles Bonnefond, président de l'Union des syndicats de pharmaciens d'officine (USPO).Pour sa part, la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) souhaite attendre la lettre d'orientations de la ministre de la Santé qu'elle s'est engagée à adresser au directeur général de l'assurance maladie dans la perspective des négociations de la nouvelle convention. "Avant d'engager la profession dans un bras de fer aux conséquences incertaines, la FSPF veut connaître les termes de cette lettre de cadrage, explique son président, Philippe Gaertner. Le conseil d'administration de la FSPF décidera, alors, des négociations ou des actions à mener."Lequotidiendupharmacien.fr