Et près de quatre consommateurs sur dix jugent la distinction entre compléments alimentaires et médicaments peu claire, dénonce par ailleurs Testachats.
"Consommer des compléments alimentaires sans avis médical préalable n'est pourtant pas sans risque, et peut mener à des interactions avec des médicaments ou à des surdosages", rappelle l'organisation de consommateurs. Le sondage a été mené auprès d'un panel de près de 1.000 consommatrices et consommateurs âgés de 25 à 79 ans entre le 3 et le 7 juin.
Les raisons de consommer des compléments alimentaires sont variées et vont de la volonté de combler des carences (70%), renforcer le système immunitaire (37%), avoir plus de vitalité (24%), soulager les problèmes articulaires (15%), à celle de profiter de leurs vertus cosmétiques (12%).
Bien que 40% des personnes qui consomment des compléments alimentaires les jugent toujours sans danger, elles sont néanmoins 70% à considérer qu'ils peuvent avoir des effets secondaires, et 49% à penser qu'ils devraient être pris sous la supervision d'un professionnel de la santé, "ce qui témoigne d'une certaine confusion à leur égard", relève Testachats. Près de huit personnes sur dix n'en consommant pas estiment quant à elles qu'ils devraient toujours être pris après avis médical.
Le sondage mené par l'organisation montre également une part de méfiance face aux allégations de santé affichées sur les emballages: seuls 9% des répondants les jugent toujours fondées scientifiquement. Enfin, près de 4 consommateurs belges sur 10 jugent la distinction entre compléments alimentaires et médicaments peu claire.
L'organisation demande un encadrement plus strict en termes de preuve d'efficacité, de sécurité et de qualité, et des contrôles bien plus rigoureux de la part des autorités.
"Consommer des compléments alimentaires sans avis médical préalable n'est pourtant pas sans risque, et peut mener à des interactions avec des médicaments ou à des surdosages", rappelle l'organisation de consommateurs. Le sondage a été mené auprès d'un panel de près de 1.000 consommatrices et consommateurs âgés de 25 à 79 ans entre le 3 et le 7 juin. Les raisons de consommer des compléments alimentaires sont variées et vont de la volonté de combler des carences (70%), renforcer le système immunitaire (37%), avoir plus de vitalité (24%), soulager les problèmes articulaires (15%), à celle de profiter de leurs vertus cosmétiques (12%). Bien que 40% des personnes qui consomment des compléments alimentaires les jugent toujours sans danger, elles sont néanmoins 70% à considérer qu'ils peuvent avoir des effets secondaires, et 49% à penser qu'ils devraient être pris sous la supervision d'un professionnel de la santé, "ce qui témoigne d'une certaine confusion à leur égard", relève Testachats. Près de huit personnes sur dix n'en consommant pas estiment quant à elles qu'ils devraient toujours être pris après avis médical. Le sondage mené par l'organisation montre également une part de méfiance face aux allégations de santé affichées sur les emballages: seuls 9% des répondants les jugent toujours fondées scientifiquement. Enfin, près de 4 consommateurs belges sur 10 jugent la distinction entre compléments alimentaires et médicaments peu claire.L'organisation demande un encadrement plus strict en termes de preuve d'efficacité, de sécurité et de qualité, et des contrôles bien plus rigoureux de la part des autorités.