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Tels sont les premiers résultats de notre grande enquête " Qui êtes-vous, pharmacien ? " - un coup de sonde qui a rencontré un franc succès, puisque la rédaction a reçu pas moins de 600 questionnaires dûment complétés. Un immense merci à tous ceux qui ont pris la peine d'y participer !Vous aurez l'occasion de découvrir l'essentiel des résultats cet automne dans le cadre d'une série de dossiers thématiques, mais ces premiers jours de l'été étaient évidemment le moment rêvé pour nous arrêter un instant sur les réponses relatives aux vacances. Nous en profiterons également pour dévoiler le nom de la personne qui remporte une croisière pour deux personnes sur le Danube ( voir encadré)Environ un tiers de nos répondants s'offrent chaque année deux semaines de vacances et un peu moins d'un tiers ont même l'habitude de s'évader pendant trois belles semaines - une tendance qui ne diffère pas sensiblement entre hommes et femmes.En ventilant les résultats par groupe d'âge, on constate que les jeunes pharmaciens prennent généralement des vacances moins longues que leurs ainés, même si 10 % des 35-44 ans trouvent tout de même le temps de s'éclipser chaque année pendant cinq semaines.Dans l'ensemble, les vacances des francophones sont aussi plus longues que celles de leurs collègues du Nord du pays. Un peu moins de la moitié des répondants (45%) répartissent leurs congés annuels sur deux périodes, un tiers les prennent en une fois.L'immense majorité des pharmaciens belges (94%) privilégient les destinations européennes et un peu moins de la moitié choisissent même de rester au pays. Les collègues d'un certain âge sont plus nombreux à passer leurs congés en Belgique que leurs cadets. Les francophones sont aussi plus amateurs de vacances à l'intérieur de nos frontières, même s'ils sont par ailleurs plus de sept sur dix à franchir parfois celles de l'Europe (contre 37% seulement de leurs homologues flamands). La voiture et l'avion sont les moyens de transport les plus fréquemment évoqués.Enfin, 15% de nos répondants (un peu plus dans le Nord du pays que dans le Sud) ont la chance de posséder une résidence secondaire ; parmi les 65 ans et plus, cette proportion monte même à un sur deux. 60% sont situées à la côte belge, contre à peine 3 % dans les Ardennes.