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La ministre De Block a rencontré les responsables de GSK afin de trouver des solutions pour garantir la disponibilité du Clamoxyl IV-IM dans les situations où il n'existe pas d'alternative valable. " Des accords clairs ont été passés et, si tout le monde les respecte, tous les patients qui ont besoin de cet antibiotique spécifique pourront en bénéficier ", a-t-elle souligné.Les pharmaciens hospitaliers peuvent ainsi prendre contact avec GSK pour se faire livrer du Clamoxyl IV-IM en urgence pour les patients pour qui ils ne disposent pas d'une alternative valable, à condition que l'établissement ait épuisé ses propres stocks de Clamoxyl IV-IM suivant le protocole de l'AFMPS.Lorsque les stocks de GSK seront épuisés, la firme examinera elle-même la possibilité d'importer le produit depuis un autre pays d'Europe suivant une procédure accélérée. Un problème supplémentaire dans ce dossier est toutefois que le fabricant a également des difficultés à répondre à la demande accrue pour la Pénicilline G, l'une des alternatives mentionnées dans le protocole.Maggie De Block a également laissé entendre que son administration examinerait tous les cas où le médicament a dû être importé de l'étranger et où le patient a dû le payer de sa poche. Elle entend évaluer l'ampleur de la problématique afin de chercher ensuite une solution avec GSK.