Nous ne sommes encore qu'en février et pourtant, les tiques sont déjà actives cette année. "Les premières morsures de tiques sont une réalité", prévient le Centre antipoisons qui invite à consulter son site pour tout savoir sur ces nuisibles.

Si les tiques sont présentes toute l'année, elles ne sont actives que lorsque la température tourne autour des 10-12°C. Raison pour laquelle dans une pays comme la Belgique au climat tempéré, elles ne font (théoriquement) parler d'elles qu'entre le printemps et l'automne (mars à octobre), soit quand il faut chaud et humide. Leur présence et leur abondance dépend notamment du climat et l'on sait que la survie hivernale est favorisée par un hiver doux...

N'oubliez pas de signaler toute morsure de tique sur TiquesNet, un projet mené par Sciensano pour collecter le maximum de données sur ce type de morsure chez l'homme et la maladie de Lyme en Belgique. Cette collaboration est souhaitée pour identifier les zones à risque afin de cibler les actions de prévention et, plus il y aura de déclarations, plus la carte sera représentative de la situation réelle.

Ainsi, mi-février, entre 1 et 4 notifications ont été faites en plusieurs endroits de la partie nord du pays.

Nous ne sommes encore qu'en février et pourtant, les tiques sont déjà actives cette année. "Les premières morsures de tiques sont une réalité", prévient le Centre antipoisons qui invite à consulter son site pour tout savoir sur ces nuisibles. Si les tiques sont présentes toute l'année, elles ne sont actives que lorsque la température tourne autour des 10-12°C. Raison pour laquelle dans une pays comme la Belgique au climat tempéré, elles ne font (théoriquement) parler d'elles qu'entre le printemps et l'automne (mars à octobre), soit quand il faut chaud et humide. Leur présence et leur abondance dépend notamment du climat et l'on sait que la survie hivernale est favorisée par un hiver doux...N'oubliez pas de signaler toute morsure de tique sur TiquesNet, un projet mené par Sciensano pour collecter le maximum de données sur ce type de morsure chez l'homme et la maladie de Lyme en Belgique. Cette collaboration est souhaitée pour identifier les zones à risque afin de cibler les actions de prévention et, plus il y aura de déclarations, plus la carte sera représentative de la situation réelle.Ainsi, mi-février, entre 1 et 4 notifications ont été faites en plusieurs endroits de la partie nord du pays.